Expo : Enfers et Fantômes d’Asie (du 10/04/18 au 15/07/18)
Voici une exposition originale et intéressante que je vous conseille au Musée du quai Branly- Jacques Chirac (situé au 37 Quai Branly, 75007 Paris):
ENFERS ET FANTÔMES D’ASIE au musée du Quai Branly
Esprits, épouvante et créatures fantastiques sont au cœur des histoires de fantômes en Asie Orientale et du Sud-Est. Du XVIe siècle à nos jours, c’est un parcours aux frontières du réel que propose ici le musée du Quai Branly — Jacques Chirac. Un voyage atypique où se croisent principalement le cinéma, l’art religieux, le théâtre, la création contemporaine, le manga et le jeu vidéo.
Le parcours d’exposition suit une approche thématique et géographique. Il mêle ainsi les époques pour montrer la continuité des représentations de fantômes. Un dialogue entre art religieux ancien, théâtre, cinéma, jeux vidéos et bande dessinée qui illustre l’idée que le fantôme ne meurt jamais et que ses manifestations sont imprévisibles.
https://www.offi.fr/expositions-musees/musee-du-quai-branly-3039/enfers-et-fantomes-dasie-67941.html
Plongée dans le monde des esprits, de l’épouvante et des créatures fantastiques : l’exposition s’empare des histoires de fantômes en Asie. À travers l’art religieux, le théâtre, le cinéma, la création contemporaine ou le manga, un parcours aux frontières du réel.
À PROPOS DE L’EXPOSITION
Des peintures bouddhiques au J-Horror, des estampes d’Hokusai à Pac-Man, du culte des esprits en Thaïlande au manga d’horreur, la figure du fantôme hante l’imaginaire asiatique depuis des siècles. En Chine, en Thaïlande ou au Japon – terrains d’étude de l’exposition – l’engouement populaire pour l’épouvante est bien réel, imprégnant une grande diversité des productions culturelles. Esprits errants de la forêt, femmes-chats vengeresses, revenants des enfers affamés (« walking dead »), vampires sauteurs ou yokaïs (créatures fantastiques du folklore japonais) : leurs apparitions sont multiples et se jouent des époques et des supports artistiques.
Pour mieux en saisir les codes, Enfers et fantômes d’Asie propose d’explorer leur omniprésence dans les arts du spectacle, le cinéma et la bande dessinée. Car si le bouddhisme a contribué à la construction de cet imaginaire – en supposant une attente des âmes entre deux réincarnations –, c’est bien en marge de la religion, dans l’art populaire et profane, que la représentation des spectres s’est surtout développée.
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